Romans

  • Littérature québécoise

    Broken Porcelain

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    Ce roman survole les sujets de l’heure. Il aborde la danse, les concerts, la célébrité, la rivalité, les médias sociaux, l’usurpation d’identité, la mauvaise presse, les délires humains et l’amour.
    L’intrigue débute par une introspection dans l’esprit troublé d’une danseuse de ballet qui a été refusée à son audition finale. À la suite de ce revers, elle rejoint impulsivement une troupe de ballet underground.
    Accompagnée de 44 danseurs—étant la seule femme—et dirigée par un directeur et chorégraphe excentrique, Kiara ne possède pas les outils nécessaires pour affronter cette célébrité soudaine.
    Au fil de l’histoire, elle rencontre l’amour. Cependant, sa relation avec une star de la K-pop est loin d’être conventionnelle. Constamment sous les projecteurs, leurs moindres faits et gestes sont scrutés et ouvertement critiqués sur les réseaux sociaux ainsi que dans la presse.
    L’histoire nous fait voyager entre Montréal, New York, l’Italie et la Nouvelle-Zélande. Une touche d’humour apporte de la légèreté au drame et rend les personnages attachants.

  • Historique

    Catherine Thierry, seigneuresse de Longueuil : admirable pionnière dans l’ombre de l’Histoire

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    Derrière les grands noms de la Nouvelle-France se cache une héroïne de l’ombre : Catherine Thierry, épouse de Charles Le Moyne, cofondatrice de Montréal et de Longueuil.
    Femme de tête et de cœur, elle élève quatorze enfants, administre la seigneurie, protège ses terres et affronte avec dignité les épreuves d’une vie rude et mouvementée.
    Morte à cinquante ans, elle laisse derrière elle l’empreinte indélébile d’une bâtisseuse de pays injustement oubliée.

    Dans un récit vibrant, Yves Breton redonne vie à cette pionnière, symbole du courage, de la foi et de la résilience féminine.
    Un hommage inspirant à toutes ces femmes qui, comme Catherine, ont permis au Canada de naître et de grandir.
    « Je pense, donc je n’existe pas. Je vis ! » — Honneur au mérite.

  • Littérature québécoise

    Ce mandala que j’aimais tant

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  • Littérature québécoise

    Chronique noire de Maisonneuve T 1 La pluie tombait et la débâcle s’est amorcée

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    « Il empoigna le corps qui gisait au pied de l’escalier. Et après l’avoir hissé sur son épaule, puis avoir traversé la cour intérieure de l’édifice en prenant garde de ne pas glisser sur le sol verglacé qui continuait à se couvrir d’eau au fil de l’averse incessante, il le déposa prestement dans le vaste coffre de sa voiture. Il scruta ensuite brièvement les fenêtres des bâtiments environnants à la recherche d’une lueur émanant d’une bougie ou d’un quelconque éclairage artisanal, mais ne distingua rien d’alarmant. Il ne vit que les habituels commerces surmontés de maisons de chambres, pour la majorité laissés à l’abandon depuis plusieurs jours en raison de la panne électrique. Alors, il se mit au volant de sa voiture et démarra afin de s’éloigner. À l’intersection, il vira à l’est sur la rue Sainte-Catherine, désertée, puis roula brièvement jusqu’à la rue Peel. Il s’y engagea à toute vitesse malgré la mince couche de glace qui faisait patiner ses roues et déporter constamment, par à-coups, sa voiture vers la droite, et gagna le boulevard René-Lévesque. »

    Nombre de Pages : 172

  • Horreur

    Chronique noire de Maisonneuve T 2 L’étreinte des naufrageurs

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    « Il pleut sur la ville depuis des heures et la pluie s’écoule dans les rues sans s’arrêter. Mais pour Lemmy T. Stone, maintenant, toute cette eau ne coulera plus assez pour laver ses souvenirs ou les emporter loin. Au contraire, ceux-ci tourneront auprès de ses luxures comme une bande de coyotes et de vautours. Heureusement, ils n’auront plus pour lui qu’une lointaine signification. Tout ce qui lui paraissait abject 24 heures plus tôt et le faisait péniblement souffrir semble devenu son seul point de référence. C’est donc sans remords qu’il compte dorénavant se griser de ce que l’argent et le pouvoir seront en mesure de lui procurer. »  Dans ce deuxième roman de la Chronique noire de Maisonneuve, tandis qu’en filigrane une série de meurtres qui pourrait être un féminicide tient les policiers en haleine, on s’accroche aux pas d’un jeune banquier poussé malgré lui à faire son chemin dans un système où les privilèges coûtent cher et qui, au final, broie les gens tout simplement.  La Chronique noire de Maisonneuve se déroule à l’époque actuelle. Outre certains personnages, dont les membres de l’Unité des homicides, les romans qui composent la série présentent certaines caractéristiques récurrentes, dont un regard tragique et pessimiste, voire ironique, sur la société. De même, la série évolue dans la ville de Maisonneuve, représentation d’une Montréal reconstruite à la suite d’une uchronie. Ainsi, Maisonneuve, au lieu d’être annexée par Montréal en 1918, a plutôt annexé Montréal. Maisonneuve offre donc au lecteur un ancrage référentiel fort, un peu à l’image de la musique qui rythme l’action d’un film.

    Nombre de Pages : 190

  • Littérature québécoise

    Chronique noire de Maisonneuve Tome 4 La bête prise en cage

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    Joey Steltzer entre dans une chambre douillette, dont les murs sont recouverts d’un papier peint texturé rouge métallisé, garni de motifs or d’inspiration victorienne. Son regard traverse la pièce et il aperçoit Karine de Neuville, assise sur une chaise placée près du lit. Elle le regarde, l’air terrifié, et il remarque immédiatement ses joues rouges et ses yeux luisants. Des yeux qui sont en réalité remplis de larmes. Il ne comprend d’abord pas ce qui se passe, puis il entend la porte se refermer derrière lui. Il se retourne instantanément et découvre un homme d’une cinquantaine d’années, peut-être même soixante, qui le tient en joue avec une arme à feu. « Bonsoir Joey », dit-il. L’individu présente un visage de forme légèrement allongée et des cheveux poivre et sel. D’allure négligée, il porte un vieux costume gris de coupe standard, froissé, une chemise blanche dont le bord des manches est un peu élimé, ainsi qu’une cravate à carreaux gris et blanc sur fond rouge. Steltzer ignore de qui il s’agit. La situation lui semble irréelle et il est subitement très effrayé. Ne sachant que faire, il tourne instinctivement la tête pour regarder de nouveau Karine de Neuville. Il la voit assise sur la chaise avec les mains sur les genoux. La détresse est bien visible dans ses yeux et elle n’arrive plus à contenir ses larmes.  Avec La bête prise en cage, Richard Cloutier ajoute une pierre à l’édifice de la « Chronique noire de Maisonneuve », une série de romans noirs d’ambiance ancrés dans des histoires de corruption et de crimes dans lesquelles les morts se succèdent.   La « Chronique noire de Maisonneuve » se déroule à l’époque actuelle. Outre certains personnages, dont les membres de l’Unité des homicides, les romans qui composent la série présentent certaines caractéristiques récurrentes, dont un regard tragique et pessimiste, voire ironique, sur la société. De même, la série évolue dans la ville de Maisonneuve, représentation d’une Montréal reconstruite à la suite d’une uchronie. Ainsi, Maisonneuve, au lieu d’être annexée par Montréal en 1918, a plutôt annexé Montréal. Maisonneuve offre donc au lecteur un ancrage référentiel fort, un peu à l’image de la musique qui rythme l’action d’un film.

    Nombre de Pages : 234

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